Publié le Lun 03 Juin 2024 | Modifié le Lun 03 Juin 2024 344 Vue(s) [137 articles]
La finale de la ligue des champions Européenne s’est tenue le Samedi 01 Juin 2024 au stade de Wembley, en Angleterre. Elle a opposé le Réal de Madrid qui comptait quatorze titres dans ladite compétition au Borussia Dortmund qui ne comptait qu’un seul titre.
Le nombre de sacre au compteur de chaque équipe pouvait laisser croire que le match est joué d’avance. Cependant, cette rencontre n’a pas été de tout repos pour les Madrilènes, bien qu’ayant obtenu le quinzième trophée Européen au coup de sifflet final. Toujours du bon côté de l’histoire, le Réal Madrid a su déjouer le plan de jeu des coéquipiers de l’international Ivoirien Sébastien Haller. Du moins, le Réal Madrid a réussi le hold-up parfait face à une belle équipe du Borussia Dortmund conduit par l’entraineur Germano-croate Edin Terzic. Porté par l’ambition jusqu’en final, les Borussens sont venus dans l’enceinte du mythique stade de Wembley avec pour objectif ultime de remporter le deuxième sacre et mettre fin à l’invincibilité en ligue des champions des hommes de Carlo Ancelotti depuis le début de la saison 2023-2024.
C’est dans cette veine que tout au long des quarante-cinq minutes de la première mi-temps, les jaunes et noirs ont usé d’une discipline tactique qui démontrait clairement une envie de mettre l’adversaire en doute. Malgré la virtuosité d’Adeyemi, l’homme fort de cette équipe du Borussia Dortmund, les Borussen ont terminé la première partie sans toutefois inquiéter les Madrilènes au tableau d’affichage.
Il a fallu la deuxième mi-temps pour voir l’équipe de Carlo Ancelotti plus présente dans le jeu et plus concrète face aux buts du portier Suisse du club Allemand G. Kobel. C’est ainsi qu’à la 74e minute sur une passe décisive de T. Kross, Carvajal sur une reprise de la tête ouvre le score pour le Réal Madrid (1-0). Après un but au compteur de son adversaire, Dortmund tente d’égaliser en maximisant ses offensives et par la même occasion baisse sa garde défensive. La maison blanche rehausse son niveau de jeu. Sur une action collective Jude Bellingham à la 82e minute coulisse un ballon pour son coéquipier Vinicius Jr qui alourdit le score (2-0) et scelle la victoire de son équipe.
Gagner des matchs sans pour autant briller de mille feu, le Réal Madrid en a fait sa marque de fabrique. C’est incroyable ! car, dans ce scenario c’est toujours la maison blanche qui gagne quel que soit l’adversaire.
Fabrice Kossonou
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